Pourquoi ce projet ?

Le centre-bourg actuel du Plessis-Macé manque de lisibilité et de dynamisme. Le vieillissement du bâti hétérogène, la rue d’Anjou un peu austère, l’impression que le château tourne le dos au village mais aussi et surtout le contournement routier par l’Avenue du Plessis découragent le visiteur et l’habitant à découvrir ce quartier.
Pourtant ce centre dispose de nombreux atouts actuellement trop séparés les uns des autres. Il convient donc de les mettre en relation (château, rue d’Anjou, place de la mairie, espace jeux Victor Hugo…) afin de les valoriser et de créer une véritable fluidité. L’histoire et la richesse architecturale de notre village doivent également nous guider dans la conduite de ce projet.

Ses enjeux

Le projet a pour but de redonner une vie de « centre-bourg » à ce quartier historique en incitant habitants et visiteurs à le (re)découvrir.

Une zone d’habitat composée d’une trentaine de logements intergénérationnels, aérés et adaptés à la fois aux familles et aux seniors, devra voir le jour conformément aux engagements du Plan Local d’Urbanisme intercommunal. Comment marier habilement le bâti ancien et contemporain afin de faire en sorte de conserver un certain « esprit village » ?

La restructuration de la rue d’Anjou en un axe remarquable devra lui permettre de devenir à la fois le point d’entrée vers le château, mais aussi l’accès vers les zones commerciales et d’habitat qui composeront ce futur quartier.

Une recentralisation de l’ensemble de nos commerces sur cette zone est incontournable. Avec un espace commercial ouvert et attractif disposant de services de proximité adaptés, conjugué éventuellement au déplacement de l’entrée principale de l’école du Petit prince dans cette zone, la fréquentation de ce quartier devrait singulièrement progresser et nous permettre d’atteindre notre objectif.

La démarche participative est un point clé de la réussite du projet, c’est pourquoi la municipalité a souhaité impliquer concrètement les habitants, riverains et commerçants volontaires au travers d’un comité de pilotage (COPIL) créé en janvier 2017. À noter également la participation d’élus d’autres communes déléguées.

Quelques chiffres

  • Surface concernée : 3,5 ha.
  • Personnes composant le COPIL : 22.

 

Partager cette page sur :